vvvvvvvvvvvvvv
Quand le rai de soleil coupe d'un trait aiguisé
le sombre du carreau,
et dessine en ombres portées
l'immobilité des statues,
quand va l'heure inutile,
quand va le jour avec une immuable ténacité,
le temps se compte en minutes perdues,
en inaccessibles secondes
où se noient les désirs avortés,
où surnagent les peurs stériles.
Quand va l'heure inutile,
quand va le jour avec un immuable zèle,
déjà le bandeau lumineux a dévié sa course,
l'abandon met, étrangement,
un entêtement féroce,
une rage étonnante à vivre.
vvvvvvvvvvv
vendredi 26 septembre 2008
samedi 6 septembre 2008
vendredi 5 septembre 2008
Dowland à Murol, Auvergne, 6 août
cccccccccccc
hgcfj






gggggggggg
Souvent quand toi, ma musique joues la musique, quand sur le bois béni dont le mouvement sonne dessous tes doigts chéris, tu remues doucement des cordes l'harmonie qui confond mon oreille,
hhhhhhhhhh
J'envie ces touches avec agilité sautant, pour baiser le tendre intérieur de ta main; mes pauvres lèvres, qui devraient cueillir la moisson, par la hardiesse du bois sont rougissantes devant toi!
gggggggggg
Pour être chatouillées changeraient-elles d'état, avec tes taquets dansants, ces taquets sur quoi tes doigts, promenant leur allure, font bois mort plus béni que lèvres en pleine vie.
gggggggg
Puisque l'impertinente touche est si heureuse, donne-lui donc tes doigts - à moi, bouche amoureuse.
llllllllllll
W. Shakespeare..... sonnet 128 (trad. P.J.Jouve)
gggggggggggggg
mercredi 3 septembre 2008
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