Quand le vent danse dans ma chemise je vois des femmes qui lèvent l’encre de grands corps dénudés dans l’échancrure des voiles et des chants de bataille à gorges déployées écrivant les rouges initiales et des guirlandes pourpres au long du baillement de la blouse
les parfums de nuit qui la hantent rassembleront au clos du lit dans le froissement du sommeil mes rêves pour un temps déposés
drapeau béant qui partage mes peurs
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